La plupart l’avait, en effet, informé que des contraintes horaires les obligeraient, probablement, à quitter l’Assemblée Générale pour prendre le vol Rodez-Paris partant à 18 h 00, compte tenu des impératifs qui les attendaient le lendemain matin à Paris.

Donc, les départs, avant la clôture des travaux,  de ces autorités n’avaient aucun lien avec la teneur des diverses interventions ayant eu lieu pendant cette Assemblée Générale.