Durant cette crise sanitaire et économique inédite provoquée par la pandémie de Covid-19, la CCI Aveyron continue de tenir son rôle de référent économique de proximité auprès de tous ses ressortissants.
Depuis le début de la période de confinement et l’activation de sa cellule de crise, la CCI Aveyron été contactée par près de 500 entreprises. Elle a, de plus, informé et accompagné, des centaines d’entreprises, notamment pour la mise en œuvre des différentes mesures gouvernementales (Reports d’échéance, crédits, activité partielle…) et dans ses domaines d’expertise, comme la finance, les ressources humaines et la santé et sécurité au travail.
Ce sont, majoritairement, les entreprises des secteurs du Commerce de détail (28%) et de l’Hôtellerie-Restauration (24%) qui ont sollicité les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie.
La CCI Aveyron conseille également les collectivités locales pour la mise en place de dispositifs de soutien économique de proximité. Le Président de la chambre consulaire a des échanges réguliers avec la Préfète de l’Aveyron et les Services de l’Etat pour évoquer les difficultés du terrain et y apporter, ensemble, des solutions adaptées. Tous les soirs, il est également en contact avec tous les Présidents des 13 CCI d’Occitanie pour, là encore, partager sur les avancées sur les nombreux dossiers.
La CCI Aveyron mobilise, en permanence, 15 conseillers entreprises au sein de sa cellule de crise Covid-19 qui peut être contactée au 05 65 77 77 00 (de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 du lundi au vendredi) ou par mail (info@aveyron.cci.fr)
Par ailleurs, un numéro vert unique (le 0 805 18 19 20 de 8 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30) a été mis en place lors d’une Cellule Régionale de Continuité Économique co-présidée par Etienne Guyot, Préfet de Région et Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie.
Leur visibilité et leur connaissance actualisée en temps réel des dispositifs mis en place permettent
aux 212 experts mobilisés dans les 13 CCI d’Occitanie de répondre aux questions et préoccupations
des chefs d’entreprise et, le cas échéant, de les réorienter vers un accompagnement de deuxième
niveau auprès des DIRECCTE, des DIECCTE, de BPI France et des Urssaf.