A l’occasion de l’Epiphanie, la pâtisserie conçue par la Jeune Chambre Economique revient sur le devant des étals en ajoutant des fèves de collection à ses saveurs aveyronnaises.
Développée sur une initiative de la Jeune Chambre Economique (JCE) de Rodez, avec la volonté d’en faire le nouvel emblème gastronomique de la ville, le gâteau la Mandarelle a été officiellement lancé en septembre dernier. Après quelques semaines euphoriques d’un succès fulgurant, la pâtisserie est de nouveau l’objet de toutes les convoitises gourmandes en cette période d’Epiphanie. La JCE, en effet, avec la complicité des deux pâtissiers détenteurs de la recette (Clément Batut, rue d’Armagnac, et la Pyramide de Montagne, rue du Touat), a décidé de glisser des fèves de collection dans 1000 Mandarelles mises en vente à partir du 2 janvier.
Le succès à répétition de cette pâtisserie originale (500 pièces vendues chaque semaine dans les trois points de vente) ne doit rien au hasard. Tout, dans la Mandarelle, a été conçu pour faire sens et donner envie aux Ruthénois (ainsi qu’aux autres). La recette est à base de farine 100% aveyronnaise, agrémentée de pommes de Pruines, de noisettes et de crème de marron issues du terroir. Et le gâteau reprend le dessin de la grande rosace de la cathédrale de Rodez. Quant au nom, il est emprunté à une petite cloche située au croisement de la nef et du transept de la cathédrale.
Si elle continue sur cette dynamique de succès, la Mandarelle va devoir se trouver très vite de nouveaux pâtissiers pour la fabriquer en plus grande quantité.